Êtes-vous à la recherche de délicieuses options de nourriture arménienne pour votre voyage dans le pays?
Ce guide présente quelques plats arméniens populaires et vous en dit un peu plus sur chacun d’entre eux!
Voici quelques-unes des meilleures excursions, hôtels, et plus encore !
🇦🇲 Expériences et excursions incontournables en Arménie :
- Excursion d’une journée à Khor Virap, cave d’Areni et monastère de Noravank
- Arménie : visite privée du monastère de Khor Virap
- Depuis Everan: Khor Virap, Echmiadzin et cathédrale de Zvartnots
- Visite privée : lac Sevan, Dilijan, Goshavank et Haghartsin
- Depuis Eerevan : visite de 4,5 heures de Garni et Geghard
🛏️ Meilleurs hôtels à Yerevan :
- The Alexander (un hôtel de luxe à Yerevan)
- Daniel’s Boutique Hotel (un hôtel de gamme moyenne à Yerevan)
- 14th Floor (un hôtel de gamme moyenne à Yerevan)
- Grand Hostel (un hôtel classe économique à Yerevan)
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Quels sont vos plats préférés en Arménie ? Faites-le nous savoir dans les commentaires!
Meilleure nourriture et plats arméniens
1. Khorovats (barbecue arménien)
Arménien: Խորոված
Est-ce végétalien/végétarien ? Non
Les Khorovats sont les rois de toute fête ou rassemblement en Arménie.
Les khorovats arméniens traditionnels (chachlik en russe) sont un élément essentiel de tout événement ou fête en Arménie et se marient naturellement bien avec la vodka et le vin.
L’histoire de ce plat simple remonte à la préhistoire, lorsque les tribus locales faisaient rôtir un gros animal sur un grand feu.
Au fil des siècles, la méthode de cuisson a été perfectionnée dans le Caucase, au Moyen-Orient et en Asie centrale, car les méthodes de cuisson étaient toutes assez similaires.
Cependant, l’Arménie a porté les Khorovats à un niveau bien plus élevé, faisant de ce mode de cuisson un sport national dans le pays.
C’est une immense source de fierté et il y a même un festival annuel qui lui est dédié.
Les Khorovats sont cuits sur des extensions appelées manghal (Մանղալ), qui est un accessoire en métal sur mesure ressemblant à une grille où l’on brûle le bois (de préférence des sarments de vigne séchés) pour cuire la viande.
Ils sont également cuits dans un trou traditionnel de cuisson du pain et du lavash appelé tonir (թոնիր).
On peut y suspendre la viande et la recouvrir pour la préparer.
Tous les types de viande peuvent être utilisés et sont assemblés sur des brochettes en métal appelées shampours (Շամփուր).
En Arménie, les khorovats traditionnels sont faits avec du bœuf, de l’agneau, de la chèvre, du porc ou du poulet.
La viande, correctement coupée, est mise à mariner de préférence la veille avec du sel, du poivre noir, du paprika, de l’oignon, du basilic et parfois de la bière afin d’infuser les saveurs dans la viande.
Pour les végétariens et les végétaliens, il est possible de préparer des khorovats végétariens traditionnels avec des légumes comme les aubergines, les tomates, les pommes de terre et les champignons.
2. Tolma / Dolma
Arménien: Տոլմա
Est-ce végétalien/végétarien ? Non (des variantes peuvent l’être – voir pasuc tolma ci-dessous)
L’un des plats les plus simples de la cuisine arménienne (s’il est bien cuisiné) est sans aucun doute le Tolma ou Dolma (Տոլմա).
C’est un plat à base de viande, d’épices et d’autres ingrédients enroulés dans des feuilles de vigne (les plus populaires) ou de chou.
Parfois, il peut être farci dans des légumes comme l’aubergine, la tomate, le poivron ou même dans des pommes.
Le dolma est un plat ancien populaire dans le Caucase, en Asie centrale, au Moyen-Orient et même dans de nombreux pays méditerranéens.
En Arménie, le dolma existe depuis des siècles et fait figure de pilier de sa gastronomie.
Il y a même un festival du dolma qui a lieu dans le pays où vous pouvez goûter à plus de 50 versions différentes de ce plat arménien!
Les ingrédients typiques du dolma sont la viande hachée de bœuf, le riz, l’oignon haché, la coriandre et le persil, l’ail haché, la sauce tomate, le poivre noir, le sel et les feuilles de vigne.
Après avoir mélangé tous les ingrédients avec la viande hachée, le dolma est assemblé couche par couche dans une marmite et cuit à 150°C pendant 50 à 60 minutes sans mélanger, car on ne doit pas mélanger le dolma (c’est une règle non écrite en Arménie)!
3. Harissa
Arménien: Հարիսա
Est-ce végétalien/végétarien ? Non
D’origine ancienne, la Harissa est l’un des plats les plus célébrés de l’histoire théologique arménienne, car il s’agit du plat quotidien favori de bon nombre d’Arméniens.
La Harissa est considérée comme un plat de saison froide et elle a même son propre festival, mais vous pouvez la préparer à tout moment et la déguster partout en Arménie si vous le souhaitez!
Elle ressemble à de la fondue, mais en réalité, les ingrédients sont du blé moulu et de la viande effilochée (poulet, dinde, agneau).
Elle mijote longtemps sur le feu et est servie avec du beurre. Ele peut être un excellent plat pour le petit-déjeuner ou le déjeuner, car elle est très nourrissante.
4. Qyufta / Koufta
Arménien: Քյուֆթա
Est-ce végétalien/végétarien ? Non
Le koufta (ou qyoufta en arménien) est un plat arménien intéressant, savoureux et absolument délicieux.
Le plat rappelle les boulettes de viande et fait partie de chaque mariage ou grande réunion en Arménie et est servi de différentes manières selon l’endroit où vous vous trouvez en Arménie.
L’une des versions les plus populaires est le koufta d’Etchmiadzin.
Mais il existe un autre type appelé Ishli Koufta.
Les principaux ingrédients du koufta sont le bœuf, l’oignon, le beurre, l’œuf, le poivre noir et le sel. Il est bouilli dans de l’eau puis servi avec du beurre, ou bouilli puis frit, selon vos préférences.
5. Tjvjik
Arménien: Տժվժիկ
Est-ce végétalien/végétarien ? Non
Le plat suivant est plutôt spécifique et est fait à partir de foie de bœuf ou d’agneau.
Tout le monde n’aime pas manger du foie, mais le tjvjik pourrait changer votre opinion à ce sujet!
Le plat est tellement populaire qu’un film lui a été dédié dans les années 60.
Tjvjik, pour la traduction, fait référence à une friture bruyante, mais dans le dialecte cela signifie : “faire quelque chose de bien et en parler tout le temps”.
Pour faire du tjvjik arménien, il est nécessaire de couper le foie en petits cubes, de l’assaisonner avec du sel et du poivre et beaucoup d’oignon, de concentré de tomate, et de le faire frire sur le feu.
De plus, beaucoup de gens ajoutent de l’agneau et du bœuf, qui doivent être frits séparément puis ajoutés au tjvjik car c’est une viande qui cuit tardivement.
6. Arishta
Arménien: Արիշտա
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétarien (les nouilles contiennent des œufs)
L’Arishta est une nouille traditionnelle arménienne faite maison, qui est beaucoup plus épaisse que les nouilles traditionnelles européennes et qui tend à être beaucoup plus foncée en couleur.
Ce plat arménien est fabriqué à partir d’une pâte très rigide dont les ingrédients sont de l’eau, des arômes et du sel.
C’est le plat parfait à mélanger avec des salades et d’autres plats car il est simple et peut compléter plusieurs autres types d’ingrédients et de saveurs.
Il est possible de commander de l’arishta partout à Yerevan et de nombreux villageois créent leur propre arishta à la maison.
7. Spas
Arménien: Սպաս
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétarien
L’une des soupes les plus populaires en Arménie est le Spas, également connu sous le nom de Tanov Apour.
Il s’agit d’une soupe au yaourt qui va conquérir votre cœur immédiatement après l’avoir essayée.
Le spas est populaire en toute saison, mais est généralement servi chaud en hiver et froid en été.
Les ingrédients du Spas sont des grains de blé qui doivent être cuits pour être mous, du yaourt (appelé matsoun en arménien), de la farine, des œufs et de la crème aigre.
Le tout est mélangé dans une marmite et cuit avec des herbes pendant une cinquantaine de minutes.
Bien sûr, il faut le remuer souvent pour s’assurer qu’il ne brûle pas.
Il peut également être préparé avec du riz et des herbes séchées et est l’un des meilleurs plats à manger en Arménie en hiver.
8. Khash
Arménien: Խաշ
Est-ce végétalien/végétarien ? Non
En Arménie, le khash n’est pas seulement un bouillon fait d’os et de panse de bœuf.
C’est un rituel pour les organisateurs et les participants.
Le khash est un plat arménien ancien qui s’est ensuite répandu dans tout le Caucase et la Transcaucasie.
Le nom du plat vient du mot “faire bouillir”.
Dans l’Antiquité, le khash était considéré comme la nourriture des pauvres, car il était utilisé de ce qui restait des sacrifices rituels ou des ventes de viande.
La saison du khash en Arménie commence à la fin de l’automne, pendant les premiers jours froids de la saison, et se poursuit jusqu’à ce que le temps se réchauffe.
Il est vrai que le processus de préparation des ingrédients nécessaires à la fabrication du khash est assez long et fatigant, mais le résultat en vaut la peine.
Le respecté “khashaker” se rassemble autour de la table tôt le matin.
Et ce n’est pas accidentel ! Le khash est un plat très nourrissant qui peut fournir de l’énergie pour toute la journée.
Pour faire du khash, il faut des pieds de bœuf et, si on le souhaite, des tripes d’animaux.
Manger du khash a plusieurs lois non écrites qui sont toutes sacrées.
De la vodka froide, de l’eau de source ou minérale, du radis, des cornichons, du poivre et du lavash sec sont tous servis aux côtés du khash.
De l’ail écrasé, des herbes, du fromage et, bien sûr, du sel, doivent également être sur la table.
Il convient de noter que le sel n’est pas ajouté au khash pendant la cuisson; il est ajouté pendant la consommation.
Comme le khash est mangé de manière simple et décontractée, une serviette humide est placée autour de chaque table.
Le khash est un plat fantastique à manger en Arménie en automne et en hiver.
9. Khashlama
Armenian: Խաշլամա
Est-ce végétalien/végétarien ? Non
Dans l’Antiquité, il était de coutume d’abattre un agneau lors de la fête de Vardavar et de faire un barbecue, ou un khashlama.
Aujourd’hui, cette tradition est préservée dans la région de Gegharkunik en Arménie.
Le khashlama est généralement préparé avec de l’agneau et des légumes.
Les différentes régions d’Arménie ont chacune leur manière de préparer ce plat.
Généralement, on prend une grande casserole, on met la viande au fond, puis on ajoute des tomates et des pommes de terre, on remet de la viande pour la troisième couche, puis on ajoute de l’aubergine et de l’oignon en veillant à ce que la casserole soit complètement recouverte par un couvercle.
Ensuite, le cuisinier ajoute 100 ml d’eau et le met à cuire à feu doux.
Par le passé, ce plat était préparé dans un tonir, mais aujourd’hui, il est préparé sur un feu, dans une cuisinière à gaz ou un four.
En règle générale, le khashlama a une forte odeur, c’est pourquoi beaucoup choisissent de le préparer à l’extérieur de la maison.
Le khashlama préparé en Artsakh est différent de celui préparé en Arménie.Il est principalement à base de bœuf gras ou de mouton (agneau).
On dispose la viande, les tomates, les poivrons rouges-verts, l’oignon et la carotte en couches dans la poêle.
Le khashlama est assaisonné de sel, de poivre, de coriandre fraîche et d’aneth.
Certains cuisiniers ajoutent des pruneaux ou des mûres pour un goût acidulé, d’autres peuvent choisir d’ajouter de la bière ou du vin.
10. Ghapama
Arménien : Ղափամա
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétarien (contient du miel)
Le ghapama est un plat coloré et appétissant qui symbolise l’unité et l’amitié.
Autrefois en Arménie, aucune table de fête n’était complète sans ghapama.
Que ce soit pour un mariage, le Nouvel an ou Noël, un pot doré contenant du pilaf sucré trônait toujours en place d’honneur.
Il était placé devant les jeunes mariés comme signe de souhaits pour une vie douce et longue ensemble. Cette tradition est encore respectée dans de nombreuses familles arméniennes.
Le ghapama est un plat de fête qui rassemble amis, proches et membres de la famille.
Aussi, il existe une chanson louant ce plat d’hiver arménien appelée “Hey jan, ghapama”.
Elle est interprétée par Harut Pambukhchyan dans un ton sincère, invitant tout le monde au festin.
Le ghapama est préparé en retirant les filaments et les graines de la citrouille.
Le haut de la citrouille est coupé.
Du riz bouilli, des noix et des fruits secs – tels que des amandes hachées, de la pomme, des cornouilles, de l’abricot, des prunes, des dattes, des pruneaux et des raisins secs – sont ajoutés à l’intérieur de la citrouille.
Comme le ghapama s’est répandu dans la cuisine orientale et européenne, les gens ont commencé à y mettre des fruits secs et des noix de leur choix.
La citrouille est fermée sur le dessus avec un couvercle coupé, enveloppée dans du papier d’aluminium et placée au four.
Les temps de cuisson peuvent varier. Habituellement, cela prend de 40 minutes à une heure et demie.
La citrouille est cuite jusqu’à ce qu’elle soit tendre, puis servie coupée de haut en bas en larges tranches.
11. Pasouc Tolma
Arménien : Պասուց Տոլմա
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétalien
Pasouc Tolma est inséparable de la cuisine arménienne traditionnelle.
Pasouc (jeûne) signifie essentiellement préparé pour la période du Grand Carême, durant laquelle les chrétiens subissent une purification spirituelle.
Le pasouc tolma est la version aux légumes des rouleaux traditionnels garnis de viande.
Comme sa recette est entièrement à base de plantes, c’est un plat très pratique à servir pendant la période de jeûne.
Il est composé de sept différentes céréales et légumineuses bouillies, telles que les haricots, les lentilles, les pois chiches, le blé concassé, le riz…
Toutes les céréales mentionnées ci-dessus sont ensuite enveloppées dans des feuilles de chou ou de vigne en conserve.
Le pasouc tolma peut être servi chaud ou froid, et les deux styles lui confèrent un goût unique.
Les sept céréales sont censées symboliser le nombre divin -sept- de Dieu.
Il est relativement facile à préparer et se conserve au réfrigérateur pendant une semaine sans se détériorer.
C’est un élément essentiel des tables du Nouvel an chrétien.
12. Jengyalov Hats / Zhengyalov Hats
Arménien: ժինգյալով հաց
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétalien
Demandez à n’importe quel Arménien quel plat symbolise l’Artsakh, et la réponse sera sans aucun doute le Jingyalov Hats.
Pendant des décennies, la préparation de ce plat a annoncé l’arrivée du printemps en Artsakh, avec la participation de toute la famille dans le processus de fabrication.
C’est un plat entièrement végétalien et adapté au Carême, rempli de légumes verts hachés, où l’équilibre entre les notes aigres, herbacées et amères doit toujours être atteint.
Les légumes verts sont mélangés et assortis, puis farcis dans un pain plat très fin, qui cuit ensuite sur la cuisinière.
Ne soyez pas confus si vous ne pouvez pas identifier une seule herbe dans le jingyalov hats, car il peut en contenir plus de 40 dans certaines recettes!
Neuf des herbes sont considérées comme essentielles (coriandre, ail vert, ortie, capselle bourse-à-pasteur, mouron des oiseaux, kdzmdzuk, oignon vert, menthe, oseille).
Faites un voyage en Artsakh et essayez-en un préparé par des locaux – vous ne le regretterez certainement pas!
13. Salade d’Avelouk
Arménien: Ավելուկով ապուր
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétalien
Vous voulez goûter à la véritable et authentique cuisine arménienne?
Si oui, alors vous devriez absolument essayer la salade d’avelouk (oseille des montagnes) lors de votre visite en Arménie.
Son ingrédient principal est l’oseille sauvage arménienne, qui est ensuite mélangée avec des graines de grenade, de l’ail, de l’huile et des noix pour compléter la salade.
Elle était considérée comme l’un des principaux plats utilisés pendant la période du Carême. Plat rapide et sain, il a un goût simple mais riche.
C’est un plat adapté aux végétaliens et qui ne nécessite pas de saison particulière pour être préparé.
Si vous ne craignez pas une légère acidité, vous adorerez sa saveur distincte!
Certaines régions d’Arménie abritent de l’oseille sauvage qui est récoltée pendant la bonne saison – le printemps – et conservée soit sous forme de tresses fraîches, soit séchée.
De nos jours, vous pouvez trouver la salade d’avelouk, ainsi que la soupe d’avelouk, dans pratiquement tous les restaurants de cuisine arménienne.
C’est l’un des meilleurs plats végétaliens à déguster à Erevan et dans le reste de l’Arménie!
14. Tatar Boraki
Arménien: Թաթար Բորակի
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétarien (contient des œufs)
Croyez-le ou non, la cuisine arménienne a ses propres pâtes fraîches appelées Tatar Boraki.
Le processus de fabrication consiste essentiellement à étaler la pâte en la rendant très fine et à la découper en petits morceaux en forme de losange.
Faites-les cuire dans de l’eau bouillie salée, puis servez avec du beurre fondu, des oignons sautés et une sauce à base de yaourt arménien (matsoun) et d’ail.
C’est idéal pour le petit-déjeuner ou le déjeuner car c’est un repas simple mais en même temps copieux qui vous rassasiera pendant longtemps.
Ce n’est pas un plat de saison, mais la période préférée pour le consommer est de la fin de l’automne au milieu du printemps.
Le Tatar Boraki est un plat populaire dans toute l’Arménie, mais particulièrement dans les régions du nord de Shirak et Lori.
15. Basturma
Arménien: Բաստուրմա
Est-ce végétalien/végétarien ? Non
La fabrication du Basturma relève d’une ancienne pratique arménienne, qui avait autrefois une véritable signification.
Le basturma est une viande crue séchée spéciale, transformée, faite de filet de bœuf.
La viande est ensuite coupée et salée, puis réservée pendant quelques jours afin qu’elle absorbe le sel.
Ensuite, la viande séchée est trempée dans un mélange spécial de fenugrec, de sel, de piment rouge moulu et d’ail, puis suspendue pour sécher à l’air libre.
Le basturma doit être conservé dans un endroit frais, ce qui vous permet de le conserver jusqu’à trois mois.
Le processus de fabrication du basturma remonte à l’Arménie médiévale, et il était si courant parmi les Arméniens de l’époque que Basturmajian est devenu un nom de famille qui est encore utilisé de nos jours.
Il est servi en tranches très fines en guise d’apéritif ou peut être ajouté dans des omelettes et des salades pour leur donner un goût unique.
16. Soudjouk avec viande
Arménien: Սուջուխ – մսից
Est-ce végétalien/végétarien ? Non
Un autre apéritif populaire de la culture culinaire arménienne remontant à l’Antiquité est le soudjouk.
Les habitants du Moyen-Orient l’ont préparé avec leurs épices typiques, qui ont ensuite été adoptées (et perfectionnées !) par les Arméniens.
Il est toujours courant de préparer du soudjouk avec des recettes variées dans différentes nations.
Le processus est assez similaire à celui du basturma, sauf qu’il est fabriqué à partir de viande de bœuf ou d’agneau hachée au lieu de viande crue, et il ne subit aucun traitement thermique.
La viande hachée salée est ensuite aromatisée avec des assaisonnements épicés comme du piment rouge et noir moulu, de la cannelle, du cumin et de l’ail avant d’être remplie dans une fine membrane.
Ensuite, il est suspendu pour sécher et durcir dans un espace frais pendant vingt jours et est servi en fines tranches de 2,5 mm.
Faisant partie intégrante des tables du Nouvel An, il est également présent sur les tables lors de divers événements spéciaux.
17. Panrkhash
Arménien: Պանրխաշ
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétarien
Le Panrkhash est la version arménienne du délicieux macaroni au fromage!
Il s’agit d’un plat arménien ancien, plus courant dans la région de Shirak, et son processus de préparation est comme un rituel unique.
Il ne faut que quelques minutes pour le préparer (pendant les mois d’hiver généralement).
Les seuls ingrédients dont il a besoin sont le fromage chechil, le lavash arménien, le beurre fondu, les oignons et l’eau bouillie.
Le nom se traduit simplement par « faire bouillir le fromage », faisant référence à ses deux ingrédients principaux, le fromage et l’eau bouillie.
Le processus commence par la superposition de lavash, puis du fromage chechil jusqu’à ce que le bol soit plein, puis les oignons sautés et l’eau bouillie sont ajoutés par-dessus.
Ce plat copieux est généralement servi dans des bols en argile profonds avec quelques cuillères à soupe de beurre fondu.
Depuis l’Antiquité, il était préparé dans presque toutes les régions d’Arménie, de sorte que la recette peut varier légèrement d’une région à l’autre.
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18. Potchapour
Arménien: Պոչապուր
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétalien
Découvrez le goût unique de la cuisine arménienne en essayant cette soupe aux haricots rouges.
Le Potchapour, qui se traduit essentiellement par « soupe à la queue », remonte à l’Antiquité ; ainsi, sa recette a subi de nombreuses variations, mais les ingrédients de base restent les mêmes partout.
Il est originaire de Gyumri et est maintenant un plat populaire dans presque toutes les régions.
Il est courant de préparer la soupe pendant les mois d’hiver et de la déguster avec de l’ail haché sur le dessus.
Les ingrédients principaux de la soupe, qui lui donnent sa saveur distincte, sont les haricots rouges et les oignons sautés, accompagnés de morceaux de pâte en forme de diamant.
Ce plat tire son nom de ces petits morceaux de pâte qui remontent à la surface de la casserole après la cuisson, ressemblant en effet à des queues de haricots blancs.
Versez la soupe dans un bol et faites en ressortir les couleurs en la garnissant de coriandre et d’ail émincé, puis servez avec du khmeli-suneli si vous le souhaitez.
19. Anali faite à partir du fruit de la pêche
Arménien: Անալի
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétalien
L’Anali est considérée comme une friandise orientale populaire, qui a sa propre place dans la cuisine arménienne.
Il s’agit d’une pêche séchée sans noyau, dont le cœur est rempli d’un mélange de noix concassées, de sucre, de cannelle et de hil.
Tout d’abord, les pêches mûres et fermes sont pelées et alignées sous le soleil.
Lorsque les pêches sont complètement séchées, le noyau est extrait, le centre est rempli du mélange de noix et suspendu à une ficelle pour sécher à l’air.
Il se conserve généralement bien dans un endroit frais et sombre et est généralement consommé pendant les mois d’hiver en Arménie.
L’Anali est une délicieuse friandise qui complétera toutes les tables de fête.
20. Gata
Arménien: Գաթա
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétarien
La cuisine arménienne propose son propre pain sucré, le Gata.
Autrefois, il était cuit dans un tonir, mais un four l’a depuis remplacé.
Cependant, dans les villages, la méthode traditionnelle de cuisson n’a pas changé.
Il peut être réalisé avec différentes garnitures aux noix, mais la plus populaire est le gata au khoriz (une garniture composée de farine, de beurre et de sucre).
Tout ce dont vous avez besoin, c’est de la pâte, du khoriz et de la vanille.
Pendant longtemps, le gata était servi pendant la Chandeleur, mais il est maintenant devenu un dessert arménien courant présent sur presque toutes les tables de fête.
C’est une douce tradition pendant Noël de placer une pièce de monnaie à l’intérieur du gata puis, après l’avoir coupé, de voir qui est le chanceux qui obtient le morceau avec la pièce.
C’est un dessert courant dans presque toutes les régions d’Arménie, et sa recette, sa taille et sa forme peuvent varier d’une région à l’autre.
Mais il n’y a vraiment rien de mieux que de boire un café à Erevan avec une tranche de gata!
21. Pakhlava
Arménien: Փախլավա
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétarien
La liste des desserts arméniens ne serait pas complète sans ce petit bijou, le Pakhlava, originaire de la cuisine orientale.
En Arménie occidentale, on l’appelait Baklava, tandis que dans la partie orientale, on l’appelle Pakhlava.
Cette pâtisserie alléchante avec sa pâte feuilletée ultra-fine, ses noix hachées et son miel ne vous laissera certainement pas indifférents.
Le mélange de sucre et de noix est ajouté à chaque couche de pâte, mis dans un grand plat pour cuire, et une fois prêt, le dessert final est nappé de miel ou de sirop.
C’est un plat populaire non seulement en Arménie, mais aussi en Iran, en Turquie, en Ouzbékistan et en Grèce, bien qu’avec quelques variantes.
Aujourd’hui, Gavar est un lieu réputé où vous pouvez goûter le meilleur Pakhlava avec ses saveurs traditionnelles uniques.
Traditionnellement, c’était un dessert incontournable lors des mariages, des baptêmes et des anniversaires.
Le Pakhlava est désormais un dessert courant que l’on trouve dans presque tous les restaurants et cafés d’Erevan.
22. Soudjouk -Sharots
Arménien: Սուջուխ, Շարոց
Est-ce végétalien/végétarien ? Végétalien
Si vous êtes friand de sucreries et que vous souhaitez découvrir toute la gamme des douceurs arméniennes, vous ne devez certainement pas manquer d’essayer le soudjouk sucré arménien.
Depuis l’Antiquité, son processus de préparation est comme un rituel et une occasion de rassemblements familiaux.
C’est une délicieuse confiserie en forme de saucisse, faite de noix et du jus de fruit de votre choix.
C’est une collation nutritive qui peut être consommée au petit-déjeuner ou comme dessert après le repas.
Tout d’abord, les noix sont enfilées sur un fil solide et réservées.
Ensuite, on prépare le sirop sur le feu à partir de jus de fruit (principalement du jus de raisin), de sucre et de farine.
Remuez jusqu’à ce qu’il devienne épais et brun, puis trempez le fil dedans et suspendez-le pour qu’il sèche.
La saison du soudjouk commence à la mi-automne, lorsque les noix sont fraîches et tendres, et le soudjouk est principalement fabriqué dans la ville d’Ashtarak, dans la région d’Aragatsotn (connue comme la terre des noix).
Quelle est votre nourriture arménienne préférée?
Faites-nous part de vos choix préférés pour les plats arméniens dans les commentaires (et dites-nous lesquels nous avons oublié d’inclure!)
Note importante : Cet article a été traduit par un professionnel à partir de notre article original sur les plats arméniens.